Sans secte, sans religion, sans obédience, sans égrégore.
D’abord, préparer le matériel, il vous faut:
Donc, 1ère étape, vous vous connectez sur www.flightradar24.com et vous vous familiarisez avec l’outil.
A gauche de la carte, il y a un petit tableau. Lorsque vous cliquez sur un avion de la carte, il apparait sur ce tableau les paramètres suivants:
Mise à jour 12 mai 2016: Flightradar a changé de design il y a 2 mois. Tous ces paramètres qui étaient accessibles d'un seul coup d'oeil par avion ont été cloisonnés en plusieurs cadres; c'est à dire qu'il faut cliquer 4 fois sur 4 cadres pour les avoir tous, une micro-facette du diviser pour mieux régner. Est-ce la conséquence de l'utilisation de Flightradar par des associations ou des investigateurs privés comme moi? L'association ACSEIPICA avait par exemple envoyé un rapport fait avec "Skyguards" qui a été lu au parlement européen, où il y avait 3 captures d'écran Flightradar d'un avion partant de Rome, puis allant pulveriser pendant 2 heures au dessus du Razès (région de l'affaire de Rennes le Château) avant de rentrer à Rome. Ces 3 captures d'écran se trouvent sur ma page consacrée à cette affaire 22!Rennes-le-Château. Avec la nouvelle interface, on passe plus de temps par avion et la vision est moins globale et synthétique. C'est mieux pour celui qui veut suivre le vol de ses amis du départ à l'arrivée, mais moins bien pour les investigateurs. Encore une manifestation de la ruse anglo-saxioniste.
Au milieu à droite, vous avez un+- qui permet de zoomer la carte sur laquelle apparaissent les avions en temps réél, on les voit avancer dès que le zoom est assez précis. Donc, vous zoomez jusqu’à ce que le nom du bled où vous vous trouvez apparaisse sur la carte, et vous mettez ce lieu au centre de l’écran en faisant glisser la carte.
Attendez d'être bien familiarisés avec le site avant de vous entraîner à l'orientation; pour cela:
A l’écran, vous repérez un avion qui se dirige vers chez vous et quand il y est presque, vous allez à la fenêtre pour le voir en vrai. Vous le regardez passer au dessus de votre tête puis s’éloigner jusqu’à ce qu’il devienne moins visible, soit qu’il commence à se perdre dans les brumes de l’horizon, soit que des obstacles vont vous le cacher. Vous revenez vite à l’écran et mémorisez la distance à partir de laquelle on ne voit rien ou très mal. Cette distance est à corréler à l’altitude de l’avion qui est affichée à gauche de l’écran. Par exemple, si l’avion est à 30000 ft (9120 mètres) la distance raisonnable d’observation va se situer dans un rayon de 20 Km autour de chez vous. Si il est à 40000 ft (12160m), vous pourrez le voir jusqu’à 30 Km de chez vous. Si vous voyez passer un avion beaucoup plus bas, 20000 ft par exemple (6000 mètres), la distance de netteté tombera à 15Km etc...
Avec une heure d’entrainement, on se familiarise vite avec ce paramètre, à tel point qu’apercevant un avion sur l’écran dans un rayon de 15 à 30Km de chez vous, vous regardez dans la bonne direction tout de suite, et miracle! vous le voyez.
Les autres paramètres plus celui-la (l’altitude) permettent déjà de détecter les avions suspects, mis à part les tout petits avions de quelques places qui ne sont pas toujours renseignés sur la destination.
La destination déjà. Si il y a un point d’interrogation ou N/A dans la case, c’est un avion à suivre. Pire encore si il n’y a ni départ ni destination. Si en plus il vole trop bas en dehors de la phase de montée et de la phase de descente, c’est un second point suspect. Sur flightradar, les altitudes sont colorées par tranche, on prend vite l’expérience de visualiser d’un coup d’oeil si un vol est normal ou pas, ou plus ou moins normal.
Justement le paramètre «vitesse de montée» ou «vitesse de descente» est indiqué en pieds par minute dans le petit tableau à gauche de l’écran (payant depuis le nouveau design!) Attention les avions à turbopropulseurs volent plus bas (6000m en moyenne) sans être suspects pour autant, sauf s’il font une trainée persistante!. Il faut donc regarder le troisième paramètre: le type de l’avion qui est indiqué. Rarement, là encore, il n’y a rien, c’est une 3ème anomalie.
Idem si l’immatriculation manque ou est autre que la norme. La norme est de une ou 2 lettres indiquant le pays, suivies d’un tiret puis de 4 lettres servant de N°. Exemple:
F-GANG, le «F» étant la France dans l’exemple cité.
Le trajet; lorsqu’un avion fait des boucles, des tours sur lui même dans un petite zone comme sur la photo 2 de 22!Rennes-le-Château, le surveiller! surtout s’il est vers 6 à 8000m pour faire ces tours et qu’il était plus haut avant et plus haut après. 6000 à 8000m = 20000 à 27000 ft. On en voit rarement car ces avions clandestins n’apparaissent normalement pas sur flightradar, mais parfois certains pilotes oublient de débrancher leur transpondeur, donc ils apparaissent, mais sans destination ni parfois départ quand ils décolent d'une base militaire. Cela explique aussi que certains de ces avions suspects disparaissent parfois d’un coup de l’écran: Le pilote débranche le transpondeur donc l'avion disparait des radars civils, il ne reste que sur radars militaires qui ont aussi leur site internet, mais il faut montrer patte blanche pour y accéder.
Donc toute anomalie de plusieurs paramètres doit inciter à suivre un avion; on peut en suivre une douzaine à la fois en cliquant de l’un à l’autre et en revenant après sur les premiers pour voir où ils en sont etc..
En dehors des anomalies des paramètres indiqués, l’absence en est aussi une, et même la plus grosse! Si vous voyez passer un avion à trainée persistante qui n’est pas sur flightradar, vous pouvez être quasiment certain que c’est un empoisonneur de populations, sauf les avions de chasse et militaires de transport volant à basse altitude qui n’apparaissent pas non plus sur flightradar.
Pour l’observation directe, le site flightradar24 sert d’abord à repérer en ayant mémorisé son altitude l’avion qui se dirige vers chez vous, ce qui vous laisse le temps de vous installer dans de bonnes conditions avant qu’il arrive, bien couvert s’il fait froid et avec votre appareil photo. Pour la photo, attendez qu’il passe au plus près, et juste avant, vérifiez si l’altitude et la trainée sont correctes ou pas. Au dessus de 30000 ft (9120m), vous ne devez pas voir la forme de l’avion mais seulement un petit tiret. Si vous voyez distinctement la forme, les ailes avant et l’aileron arrière, il est aux alentours de 20000 ft (6000m). C’est soit qu’il monte ou va atterrir et ça, vous l’aurez vérifié avant de sortir. Soit il est trop bas et vole en palier, dans ce cas, photo. Ces photos vont servir à départager les avions qui pulvérisent des aérosols des autres. Comment?
Il y a d’abord un petit espace égal à la longueur de l’avion où il n’y a rien, puis la trainée commence. La photo zoomée permet de bien départager et préciser cet état:
Donc là encore, la photo permet de préciser ce qu’on voit à l’oeil nu.
Vous aurez peut-être la chance toute relative de voir un on/off d’un des 2 pulvérisateurs, ou des 2, comme on le voit sur la photo suivante où le pilote a arrêté le pulvérisateur de droite 1/10ème de seconde avant que j’ai pris la photo. On voit qu’à gauche, la trainée commence immédiatemment derrière le réacteur, alors qu’à droite, elle commence après un tout petit espace qui lui, est comblé par une petite tache presque transparente.
Une dernière opposition pour départager les avions: dans un vol normal, la trainée diminue et pâlit jusqu’à disparition rapide, alors que dans le cas contraire, elle s’élargit et persiste jusqu’à étalement complet sur des surfaces parfois très larges (10Km de LARGE pour une seule trainée!)
Voilà, avec toutes ces indications, en passant une heure de temps en temps sur flightradar en alternance avec des vérifications puis photos de visu par la fenêtre ou sur le balcon, vous pouvez vous faire vous-même votre opinion sur le sujet.
Vous pourrez vérifier ce que j’ai remarqué de suspect en 6 mois d’observations, à savoir:
Je n'ignore pas qu'une ligne droite sur une planisphère ne l'est pas forcément sur une vraie sphère, mais j'ai vérifié: même sur une mappemonde, le trajet de cet avion est une rallonge pour passer au-dessus des montagnes enneigées, même si le détour est moins important que sur une planisphère comme cette photo.
Même si le détour est moins important sur un mappemonde que sur une photo, il est cependant très net, et comme par hasard, il permet de passer au-dessus des montagnes enneigées; et beaucoup de vols adoptent cette règle, ça commence a faire louche.
Cet avion est parti d'une base militaire près de Madrid (pas de lieu de départ -N/A- = opération spéciale, sauf pour certains petits avions de tourisme qui ne sont pas renseignés quand l'aérodrome est tout petit). En suite il va pulveriser en Italie, comme on va le voir sur la photo suivante. C'est une règle: pour éviter les problèmes de conscience des pilotes (merde! on me fait faire de l'épandage au-dessus de chez mes enfants!) les pilotes français vont gazer d'autres pays et ce sont des pilotes d'autres pays qui viennent gazer en France.
Par exemple, les 3 premières photos de la page 22!Rennes-le-Château. Inversement, la France va gazer d'autres pays. Dans cette photo et la suivante, c'est l'Espagne qui va griser la neige des Alpes françaises puis italiennes, puis gazer la plaine du Pô en Italie.
Voici le couleurs pour repérer l'altitude sans cliquer sur les graphiques plus fastidieux que sur le Flightradar d'avant avril 2016:
ROUGE = 14000m et plus
Violet/rosé, parme, clair: 12/13000m
Le même plus foncé; 9000/11000m
Bleu marine : 6000/8000
Quand le bleu s'éclaicit ver le turquoise: 5000m
Puis vire un peu vers le vert/bleu clair 3/4000.
Vers le jaune, on est à 2000m il va atterir.
Sur ces 2 photos, on voit qu'il a effectué son trajet d'approche vers 13000m, puis descendu vers 7000/8000 pour épandre sur les Alpes, puis encore descendu vers 3/4000 au dessus de la plaine du Pô avant de disparaitre d'un coup de l'écran alors qu'il commençait à tourner dans sa zone d'épandage. La photo étant très zoomée, on voit plus distinctement le "No Callsign" qui indique un vol clandestin -sans N° de vol-, confirmé par la disparition brutale des écrans radars civils qui est due au pilote qui a débranché d'un coup le transpondeur.
Après être descendu jusque vers 3/4000m, l'avion commence a faire des tours dans son secteur prévu pour l'épandage. Comme il revenait sur Tortona puis Voghera, je m'apprêtais a refaire une capture quand l'avion a subitement disparu de l'écran! Avec toute la trajectoire et ce qui le concerne bien sûr.
Et pour terminer par une bonne nouvelle, voici une photo de «l’exception qui devrait être la règle», et son explication.
Lentement, parallèlement à l’épisode El Nino en fin de parcours, les températures sont redevenues plus fraiches, puis plus plus froides, à tel point que l’hiver a réellement commencé en retard, début février et se poursuit toujours ce 14 mars, avec des gelées la nuit et des maximums de 5°C les jours les plus ensoleillés. J’ai donc fait plusieurs photos devenues un peu exceptionnelles depuis avril 2012, mais qui devraient être la règle: trainées courtes, se dissipant en quelques dizaines de secondes et petit espace transparent derrière l’avion avant le début de la trainée, nettement visible à l’oeil nu même pour un avion à 11000 mètres. ça devrait être tout le temps à peu près comme ça, la normalité est donc devenue rare. Souhaitons qu’elle le reste longtemps. Jusqu’à l’annonce de la prochaine conférence sur le climat?
Vous voyez la différence? Maintenant, à vous de faire vos propres observations. N'hésitez pas à m'en faire part, soit par commentaire (limité à 160 caractères!, 45 pages), soit par message privé (5 pages contacts, illimité).
N.B: depuis la reprise des gazages du 24 mars 2016, j'observe des trainées au début normal (espace "sans" de la longueur de l'avion) mais qui persistent, pas des heures mais trop quand même. Cela signifie simplement que tout sort par les réacteurs et qu'il n'y a pas de pulvérisateur séparé...ou alors que son tuyau de sortie est monté dans la tuyère, comme c'est le cas quand c'est de la vapeur d'alumine qui est pulvérisée. Elle se condense alors comme les gaz d'échappements dès qu'elle est refroidie en même temps qu'eux. C'est plus que les additifs dans le carburant pour accroitre la persistance via le relevage de la température de condensation de -40°C à seulement -5°C. Dans ce cas de vapeurs d'alumine, il n'y a plus besoin de températures négatives puisqu'on voit des avions NOIRS (donc pas givrés) qui font quand même une trainée avec une température positive!. (c'est à dire à une altitude inférieure à celle de l'isotherme 0°C, comme ça a été souvent le cas pendant les chaleurs de l'été 2015. En observant sur de longues périodes, on fini par comprendre!👍
Derniers commentaires
07.07 | 13:34
Merci pour cet article très intéressant.Bravo,continuez.
17.02 | 17:32
Merci beaucoup, je prends note; mais je n'ai tout simplement pas le temps! Et à l'heure où le golem Covidiot est sur le point d'être remplacé par un autre, je doute que ça aille vers l'amélioration !
14.02 | 11:53
Svp faite plus de vidéo sur YouTube ou sur odysee pour partager vos connaissances la jeunesse en a besoin. J'ai vu vos deux rare interview et je v trouve lumineux. Faites des vidéos on vous soutiendra
12.02 | 09:42
Ma conclusion de ma lecture de cette page sur l'Évolution est que l'humanité se rapproche d'un point de rupture. Ce sera alors un désastre pour les contre-initiés et une opportunité pour d'autres. @+