Sans secte, sans religion, sans obédience, sans égrégore.
Je vous avais promis depuis quelques années un article/résultat de mes investigations sur Céline Renooz, et à la faveur de 2 jours de vraie pluie, j'ai enfin pris le temps de le faire!
Je suis volontairement resté en-dessous de la vérité, mais si on veut résumer c'est difficile de faire autrement. L'avantage, c'est d'avoir 6 gros bouquins résumés en 1/4d'h de lecture, et en bonus, de lire ce qu'en dit la mémoire de la nature où, je le rappelle, seul le vrai peut se voir; contrairement à l'inconscient collectif où tout peut se voir, le vrai vécu comme les pires mensonges et sans pouvoir distinguer les 2 sauf après un entrainement initiatique de long terme qui développe le discernement pour ne pas dire plus. Voici donc Céline Renooz revisitée et enfin décryptée.
Quelles ont été ses intuitions géniales s’appuyant sur la science de son époque et qui tiennent toujours la route actuellement, encore plus que jamais?
Sur quels sujets s’est-elle fait piéger par l’égrégore de son siècle qui l’a induite en erreur?
Qu’a-t-elle de spécifique à tel point qu’aucune personne homme ou femme n’a jamais osé en parler? (Mis à part quelques courtes allusions).
Elle a eu au moins 5 ou 6 précurseurs, mais c’est elle qui a fait la synthèse de leurs découvertes tout en y apportant sa touche personnelle dans six tomes totalisant 2500 pages, intitulés «l’Ère de Vérité». Ces tomes n’ont jamais été réédités, et peuvent se télécharger sur le site de la Bibliothèque Nationale de France.
Je vous propose, non seulement de résumer ces 2500 pages dans cet article, mais en plus d’en pointer les points géniaux et les quelques erreurs dues à l’égrégore de son siècle qui l’a forcément marquée (être hors égrégore est justement une caractéristique de l’initié au sens originel du terme, voir mes pages «égrégores définition» et «connaissances cachées»)
De plus, il lui manquait un important morceau du puzzle que j’ai particulièrement suivi depuis 35 ans, comme si j’étais venu entre-autres pour finir son travail… Voilà pour l’introduction, passons maintenant Céline Renooz au tamis de la mémoire de la nature.
Dans ses 6 tomes «l’Ère de vérité», Céline Renooz a réécrit l’histoire en s’appuyant sur des prédécesseurs comme Fabre d’Olivet ou Jacob Bachofen. Le thème est qu’à l’origine, l’humanité était matriarcale dans le sens d’un culte de la déesse et de la femme voulu aussi par les hommes. Cette période est récapitulée par l’homme jeune voire adolescent qui éprouve naturellement une adoration pour la fille et la femme, sauf quelques cas sociaux où l’enfant aurait été particulièrement maltraité par sa mère et/ou d’autres femmes de son entourage. Inversement, un enfant maltraité seulement par des hommes et protégé par sa mère éprouvera cette adoration plus longtemps que la moyenne.
Donc, pour ne pas perdre son fil, Céline Renooz distingue 3 phases dans son histoire réécrite: d’abord un «âge d’or» (sic) pendant lequel c’est la femme qui avait tout inventé, l’agriculture, l’élevage et le passage à la sédentarité dans des constructions techniquement avancées et parfaites, les inventions pratiques de toutes sortes concernant l’habitat et la santé, le tout avec la bénédiction des hommes qui pratiquaient un culte de la déesse et acceptaient de travailler librement pour réaliser les améliorations de la vie initiées par ces femmes novatrices. La guerre était inconnue dans cet âge, de même que le droit de paternité, les enfants étaient élevés avec l’aide des oncles, les pères biologiques étant soit inconnus soit disparus au moment des naissances..
Mais peu à peu, comme rien n’est statique dans l’univers, elle distingue une seconde phase dans laquelle les hommes se révoltent et veulent obtenir les mêmes pouvoirs que la femme. Commence alors une véritable guerre des sexes qui va durer au moins 3500 ans, il y aura des armées de femmes se défendant de la barbarie des hommes qui ne connaitra aucune limite… même après les batailles puisqu’ils réécrivirent et falsifièrent entièrement l’histoire pendant 1400 ans, de 1000 avant l’an 0, jusqu'à 400 après, avec d’incessantes retouches jusqu’à l’époque actuelle.
Finalement, la femme fut vaincue et l’on rentra dans la 3ème phase, celle du patriarcat.
Le point chevauchant le début de cette 3ème phase est l’invention du mariage par Ptolémé Philopator il y a 2250 ans environ. Le droit de paternité fut alors reconnu, et justement, ce point a été utilisé par Céline Renooz pour débusquer les passages falsifiés de l’histoire. Par exemple, si un passage de la bible parle «de la femme de Truc» ou «du mari de Bidulette» écrit soi-disant il y a 3000 ans, il est évident que ce passage a été réécrit à l’époque où le mariage existait et est donc beaucoup plus récent que ce qu’il veut faire croire au lecteur. Je donne cet exemple, mais Céline Renooz en a plusieurs dizaines du même genre, et comme elle maitrisait 7 ou 8 langues dont le sanscrit, elle a fait des rapprochementsi inédits entre les différentes cultures… et ces rapprochements racontent partout la même histoire!… et ont donc disparu de l’histoire officielle, par conséquent.
Cependant, le lecteur érudit qui n’a pas peur de lire des milliers de pages peut comme elle et sur la base de ses indications, lui aussi débusquer les réécritures historiques parfois de plusieurs millénaires après le document original quand il existe; car souvent une transmission orale assez fidèle a été truquée dès sa première écriture, puis encore retruquée quand certains y trouvaient encore trop de vrai. Cela explique entre-autres l’incohérence des récits mythologiques, mais là, je ne peux pas donner d’exemple sous peine de perdre le fil. Parfois aussi, les réécriveurs ont oublié un détail de l’ancienne version qui ne colle pas avec la nouvelle, et Céline n’avait pas son pareil pour pointer ces petits détails invisibles au lecteur ordinaire.
Le Tome 3 est particulièrement explosif, car elle démolit un livre considéré comme inspiré par Dieu (pour faire taire toute critique). Quelques exemples: Caïn n'a pas tué son frère Abel mais Habel, sa soeur masculinisée par la réécriture. Puis le Sépher, ancêtre de «la Genèse» a été écrit vers 1500 ans avant notre ère par la reine Myriam dite «Marie l’Egyptienne». Les patriarqueux réécriveurs ont masculinisé cette reine Myriam en Moïse et ont fait une caricature de la Genèse qui contient encore du vrai tant qu’on ne cite aucun nom de personnage. Après, ça se gâte, par exemple Céline montre par des dizaines de passages lus avec attention que le roi David était une masculinisation de la reine Daud (prononcer Daoud), que le roi Salomon a tué (c’était sa mère, ben mon Salo) pour prendre le pouvoir, marquant le début du patriarcat dans cette région. Parmi les personnages des siècles suivants, beaucoup furent masculinisés comme Isaïe ou Jérémie. Elle raconte leur vraie histoire, on se demande comment ces femmes ont pu survivre à tant de souffrances et tortures (dites «Jérémiades»! de Jérémie pleurant au fond de sa fosse), il est vrai que la vitalité était plus résistante que de nos jours.
Quand elle compare, par exemple les citations d’Elie (vrai homme) à celles d’Isaïe (femme masculinisée), le style est tellement différent que la falsification saute aux yeux du lecteur non-égrégorisé.
Sorti de l’histoire biblique, elle montre que les Celtes et leurs déesses des débuts ont en fait influencé toutes les cultures des Indes à l’Afrique du Nord en passant par la Grèce et la Scandinavie + Russie d’Europe… Seule l’Amérique et l’Australie and Co semblent y avoir échappé, les Vikings étant des néo-celtes beaucoup plus tardifs dans leur histoire. Avec ça, elle confirme ce que j’ai découvert par un autre moyen car je n’ai pas son érudition: la naissances des Celtes suite à la chute de l’astéroïde de Köfels que je détaille dans mes 2 premiers livres. Cet exemple est idéal pour enchainer sur le morceau du puzzle qu’il manquait à Céline Renooz.
Je vais y venir en reprenant l’histoire au début.
Céline Renooz a démontré par l’embryologie de son époque (microscopie optique, l’électronique n’existait pas) que l’être humain et les animaux ont une origine végétale. La secrétaire de Darwin l’a traité de folle, poursuivie, et lui a voué une haine tenace toute sa vie, elle voulait la faire enfermer et n’y a heureusement pas réussi. Céline était donc pour ça aussi opposée aux théories de Darwin (en plein dans son époque puisqu’elle était née en 1840), mais elle expliquait le passage de l’humanité végétale à l’humanité actuelle d’une façon très darwinienne! Pourquoi?
Et bien parce que justement, les connaissances actuelles sur les astéroïdes qui font passer l’épigénétique dans la génétique grâce à leur radioactivé, n’existaient pas. Quand Hapgood a publié le premier une théorie approchant les astéroïdes, livre préfacé par Einstein en personne, Céline était proche de sa mort en 1928. Pour ne pas perdre le fil Celte, voilà ce que cela donne quand je rajoute ce que je sais sur Köfels aux découvertes citées dans «l’Ère de Vérité».
Köfels se trouve près d'Innsbruck, donc pas de survivants sur quelques centaines de Km autour du point d’impact. Par contre, immédiatemment au delà de cette zone, on trouve les survivants les plus mutés car les plus irradiés. Or la zone de naissance des Celtes originels que donne Céline Renooz se situe précisément là! Elle définit un triangle entre la Meuse, le Rhin et l’Escaut comme lieu de naissance. Il lui manquait juste le phénomène qui avait déclenché cette naissance qui en ont fait un peuple en avance par rapport aux survivants plus lointains et pas assez ou pas du tout mutés. Et quelle était la mutation principale? L’embryon d’un sens moral qui allait faire la différence avec les «pas encore sortis de l’animal», au sens initiatique de l’expression, c’est à dire ayant une soi-conscience couplée avec ce fameux «sens moral» au lieu de se laisser vivre d’une façon automatique. Actuellement, un peuple disséminé partout mais dont l'origine géographique est plus au Sud, au moyen-orient, voue une haine jalouse aux descendants actuels des Celtes qui ont ce sens moral que eux n’ont jamais eu… d’où le racisme anti-blancs qui sévit actuellement de façon d’autant plus sournoise qu’officiellement, c’est le seul qui n’existe pas..grâce aux réécritures modernes de l'histoire.
Céline Renooz parle beaucoup des Celtes au point d’en avoir fait le titre du tome 4 de «l’Ère de Vérité». Il est titré «le Monde Celtique» et sioux-titré «Celtes et Latins». Les Celtes postérieurs aux débuts qui émigrèrent plusieurs millénaires plus tard en Angleterre, Irlande, autant qu’en Grèce et en Inde voire en Afrique du Nord (Touaregs et ancêtres des Berbères) étaient déjà bien dégénérés par rapport aux premiers. Néanmoins, même avec cette dégéneresence, il leur restait encore un respect de la femme malgré le patriarcat montant, qu’ils réussirent à transmettre aux Gaulois avant de se diluer. Voilà pourquoi les Gaulois avaient peur «que le ciel leur tombe sur la tête», il connaissaient ataviquement l’origine des Celtes suite à la chute de l’astéroïde de Köfels…
Voilà donc son premier point faible, Céline Renooz reste muette sur le passage du végétal à l’animal-humain, ou alors elle tente une explication très darwinienne (faute de mieux malgré son anti-darwinisme) et bancale quand elle ne peut plus éviter le sujet. Avec les périodes de forte radioactivité qui font passer l’épigénétique des survivants dans leur génétique, faisant apparaitre des espèces nouvelles en une génération, on a le chainon manquant. Je donne de nombreux exemples dans mes 2 premiers livres, je n’y reviendrais donc pas ici puisque mon second livre est en ligne gratuitement sur ce site (menu en haut de cette page).
Pour le second point faible, elle a été victime de l’égrégore de son époque, c’est à dire le positivisme physique du 19ème siècle avec toute négation de tout ce qui ne se voit pas: pêle-mêle, Dieu, la télépathie; les NDE et les médiums, les sourciers et chamanes, les magnétiseurs et l’hypnose etc, etc.
Du coup, quand elle est confrontée aux manifestations de l’éther par exemple elle donne des explications qui ne tiennent pas la route, parlant d’éther-azote ou d’éther-oxygène, ou d’oxygène-radiant….
Mais on ne peut pas mettre à la poubelle les NDE, la télépathie, les descriptions d’autres vies et lieux sous hypnose puis vérifiées sur place à posteriori, ainsi que la vision dans la mémoire de la nature. Justement, l’ancienne intuition féminine de l’âge d’or qu’elle décrit souvent dans beaucoup de contextes s’apparente assez bien avec ma vision de ce que j’appelle «mémoire de la nature»…. Céline tend alors à ramener cette intuition à un phénomène physique et matériel, et là encore, ses explications ne resistent pas longtemps à un examen suivi.
3ème et dernier point faible: elle exagère et généralise trop certains points. Le plus important est la répartition des tâches dans les sexes. Elle part d’abord d’une base juste, à savoir qu’hommes et femmes sont différents, et qu’il faut donc bannir le féminisme égalitaire au profit d’un féminisme éthique mais où les rôles sont différents et adaptés aux dimorphismes sexuels. Mais elle exagère quand elle écrit une dizaine de fois: «à l’homme les travaux de force, à la femme les choses de l’esprit» Bon… il y a quand même des hommes qui savent réfléchir et penser par eux-mêmes, et des monstresses hypertélisées va t’en guerre comme Victoria Nulle, Madeleine Allbright, Hillary et autre pègre hilarante…tellement hideuses que l'on se demande si ce sont des vraies femmes... ou tout simplement bêtes commes les intervieweuses russophobes des plateaux-télés (t’es laid)
A la décharge de Céline pour le 1er point faible, elle ignorait ce que j’ai vu dans la mémoire de la nature, à savoir que toute humanité post-cataclysme est automatiquement matriarcale de fait puisque ce sont les femmes qui portent les enfants et qu’avec quelques milliers de survivants, il faut repeupler en vitesse sous peine d’extinction de l’espèce. Même avec quelques centaines de milliers comme je le raconte dans mon chapitre 26, cela reste valable (publié en 1997, livre en ligne gratuitement sur ce site). Comme elle ne connaissait pas l’évolution par catastrophes validant l’épigénétique dans la génétique, elle avait là encore trouvé une explication tirée par les cheveux. Surtout que le terme «épigénétique» est tout récent, je l’avais appelé «second code génétique» dans mon livre sorti en juin 1991, citant les introns (ADN codant) et les exons (ADN non-codant qui modifient l’expression des gènes et programme les futurs gènes en fonction du mode de vie et de l'évolution morale personnelle et individuelle)
Ceci-dit, sur ces 2500 pages, il n’y en a qu’une ou deux centaines de douteuses, le reste vaut qu’on passe du temps à les lire. Elle manie le langage-oiseau à merveille avec toutes les langues qu’elle connait, et explique au passage l’origine de la franc-maçonnerie grade par grade, au moins jusqu’au 17ème dans le 3ème tome, et même 5 ou 6 de plus dans le 5ème tome si ma mémoire est bonne. A ce sujet, lire le résumé qu’en fait Jacques Hivert, historien franc-maçon qui a publié une courte biographie de Céline Renooz. Elle est aussi rentrée en franc-maçonnerie vers 1900 alors qu’elle avait déjà 60 ans, et là encore, il faut se replacer dans le contexte de l’époque: les femmes franc-maçonnes étaient très rares à cette époque, et pour elle, c’était plutôt un acte militant et une reconnaissance d’être admise dans une loge où il n’y avait presque que des hommes. Au congrès d’anthropologie de 1897, elle était la seule intervenante féminine au milieu d’hommes francs-maçons pour la plupart.. C’est lè qu’elle a dit: «l’homme ne descend pas du singe, il y va…» préfigurant les «superchimpanzés» de mon 1er livre sorti en 1991. Il est possible qu’elle soit rentrée en franc-maçonnerie pour la protection du réseau. Néanmoins, je trouve sa mort le 2/2/1928 suspecte, mais à 88 ans révolus, le médecin a du donner le permi d’inhumer sans l’examiner, attribuant sa mort à la vieillesse vu son âge. Cependant, 2/2/1928 donne 222, puisque 1+9+2+8=20 donc 2. D’où ma suspiscion que le réseau maçonnique avait ce jour là été doublé par un autre réseau… Elle n’a pas pu assister à la publication de son dernier tome (le 6ème) que je trouve du reste moins pertinent que les autres, plus consensuel. Il est sorti 5 ans plus tard, et elle décédée, aurait laissé le champ libre à un correcteur adepte de la version officielle de l'histoire..), alors que ses premiers tomes sombraient déjà dans l’oubli d’où ils ont commencé timidement à ressortir depuis 2017. Avec la falsification de l’histoire vécue depuis sa mort, on pourrait écrire un 7ème tome tout aussi volumineux………………….
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